Female foot fetish

Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 1 an

L’été… la saison où le corps se dévoile pour se libérer de la chaleur des couches de tissu qui l’ont recouvert tout au long de l’hiver. C’est la saison idéale pour admirer les pieds des filles, entourés de petites sandales ou même nus comme sur la plage ou à la piscine. C’est un spectacle qui ne laisse pas indifférent le fétichiste que je suis. Mais cet été a un goût particulier. Après les célébrations des diplômes de chacun, c’est le temps des « au revoir », des « bonne continuation » ou des « à bientôt », parfois en sachant pertinemment que ce bientôt n’existera sûrement pas.

Heureusement, les meilleurs amis restent. C’est le cas de Caroline. On se connaît depuis plusieurs années scolaires déjà mais c’est surtout cette année que l’on est devenus très proches. Mais très proches en étant très clair sur nos sentiments : de l’amitié mais pas plus.

C’est pourtant une très jolie fille. Elle est grande, presque autant que moi, et brune. Ses yeux sont noirs, très noirs, tellement noirs qu’on distingue à peine sa pupille au centre de son iris. Cela peut paraître étrange dit comme ça mais ce regard atypique lui donne un charme certain. Pour ce qui est de ses pieds, j’ai eu quelques occasions de les observer lorsque je l’ai invitée chez moi ou vice versa. On voit qu’elle en prend soin, toujours vernis, une chaînette à la cheville et des orteils bien ordonnés. Nos relations amicales ne laissaient que peu de place à l’espoir d’exhausser mes fantasmes avec elle, même si cela me plairait, sans pour autant entrer dans un cadre amoureux.

Ce jeudi après-midi de fin juillet, Caroline m’a invité chez elle pour passer un peu de temps ensemble. Elle habitait un appartement en centre-ville qui se divisait en 2 étages avec un balcon. Elle était seule chez elle : ses colocataires étaient absents pour l’été. Comme je connaissais déjà les lieux, je suis rentré directement mais sans faire de bruit dans l’espoir de lui faire peur en entrant. En effet, la porte d’entrée donnait sur le salon où Caroline se trouvait probablement. Fier de la surprise que je m’apprêtais à faire, je suis rentré en criant. Malheureusement, cela n’a pas surpris mon hôtesse qui m’avait entendu arriver malgré mes précautions. Elle regardait une série quelconque à la télé et m’a invité à la rejoindre sur le canapé.

Ses pieds nus étaient reposés sur la table basse. J’ai tout de suite remarqué son vernis inhabituel avec de petits motif noirs. Après quelques minutes à discuter de tout et de rien, je n’ai pas pu m’empêcher de la complimenter sur ce fameux vernis et de lui demander comment elle avait réalisé ces jolis motifs. Cette remarque semblait lui avoir fait plaisir. Elle m’a donc expliqué avec le sourire comment elle avait fait et m’a remercié du compliment. Une fois l’épisode de la série terminée, on est allé sur son lit car elle voulait me montrer une vidéo sur son portable qui était en train de charger.

C’était l’extrait d’un one-man show d’un humoriste qu’elle adore. Pendant la vidéo, je discutais par SMS avec une autre fille, Laurie. J’étais amoureux de cette fille mais elle le savait et en profitait. Caroline, en bonne amie qu’elle est, m’interdisait de lui parler pour que je passe à autre chose. Lorsqu’elle s’est rendue compte que je parlais à cette Laurie, elle saisit mon portable et le jeta au bout du lit en me disant « confisqué » avec un sourire complice. Malgré tout, lorsque la sonnerie de mon portable signalant la réception d’un message retentit, Caroline était toujours concentrée sur son propre smartphone.

J’en ai alors profité pour discrètement me diriger vers lui c’est-à-dire vers les pieds de Caroline. Mais, alors que je tendais le bras pour l’attr a p e r, elle vint poser son pied net sur lui pour m’empêcher de le prendre. Surpris, je me tournai vers elle en lâchant un petit « mais… ».

Dans la seconde qui suivit, comme pour m’empêcher de parler, elle vint poser le bout de son autre pied sur ma bouche en disant « il n’y a pas de mais, c’est non ». Les secondes qui ont suivi furent une éternité, j’étais gelé sur place. Cette action qui pour elle était tout à fait naturelle me rendait mal à l’aise mais heureux en même temps de par le contact de ce joli pied sur ma bouche. Je ne savais pas comment réagir face à cette situation inattendue. Je sentais la délicate odeur de ce pied délicat qui m’était offert, une odeur qui me donnait vraiment envie d’aller plus loin, même si je ne devais raisonnablement pas. C’est pourquoi, malgré mes tentatives désespérées de retenir mes pulsions, j’ai doucement sorti ma langue contre ce pied qui était venu sans contrôler ce que je faisais ni penser aux conséquences.

La réaction ne s’est pas faite beaucoup attendre. « Tu fais quoi là ? » me dit-elle soudain en retirant son pied. L’atterrissage fut douloureux. J’avais honte de ce que je venais de faire. Perdu, j’ai préféré baissé la tête et me lever pour aller m’asseoir sur le canapé dans le salon. Je ne voulais pas affronter son regard et son jugement après ce que je venais de faire. Sur le canapé, le temps était long, d’autant que mon portable était toujours vers Caroline. J’hésitais à rentrer carrément chez moi mais je ne voulais pas non plus gâcher mon amitié avec elle. J’étais donc obligé de me faire v i o l ence et de retourner dans la chambre pour m’expliquer avec elle. Je suis entré, elle était toujours allongée, en train de pianoter sur son portable.

  • Je crois que tu me dois quelques explications… me dit-elle sans lâcher les yeux de son écran.
  • Je… tu vois … en fait … j’aime bien les pieds des filles et … quand j’en vois des beaux, j’ai envie de les embrasser, de les lécher … exactement comme quand on voit un chaton mignon, on a envie de le caresser, de le prendre dans nos bras, c’est la même chose… avouai-je, non sans honte.
  • Mais je comprends pas pourquoi tu aimes les pieds ? Surtout les miens, ils ne sont pas très beaux…
  • Je sais pas c’est un kiff, je saurais pas l’expliquer… Et puis je peux te dire que des pieds j’en ai vu un paquet mais rarement aussi beaux que les tiens, et je te dis ça en toute amitié !
  • Ah … J’ai déjà entendu parler que certains garçons aimaient les pieds mais jusque-là je n’en connaissais pas et j’aurais jamais pensé que ça aurait pu être ton cas…
  • J’ai jamais osé te le dire, j’avais peur que tu te moques de moi ou que tu caches tes pieds dans des grosses chaussettes à chaque fois qu’on se voit…
  • Sois pas ridicule ! Chacun son truc après tout, moi mon rêve c’est un mariage de princesse ! Et puis il y a pire comme fantasme…
  • Merci d’être aussi compréhensive… Dis-moi … Je ne pensais jamais te demander ça un jour mais ça te dirais un petit massage des pieds ? Comme ça tu pourras te sentir un peu princesse et ça me ferais plaisir…
  • Mmmh… Après tout si ça te fais plaisir, vas-y ! conclut-elle avec le sourire en tendant ses pieds sur le lit.

J’étais sur un petit nuage. Le simple fait de pouvoir servir ces jolis petits pieds, de les tenir dans mes mains, me remplissait de bonheur. C’était l’occasion idéale d’appliquer les conseils que j’avais pu lire sur internet dans l’optique de ce genre d’occasion. D’abord les orteils et leur base par de petites tâtonnements des pouces puis des pressions avec la paume de la mais en descendant progressivement par la plante jusqu’au talon. J’étais appliqué pour que ce moment de bonheur soit partagé avec Caroline qui m’a permis de vivre ce moment. Avant même que j’ai terminé, elle m’interrompit :

  • Tu meurs d’envie d’aller plus loin, pas vrai ? me demanda-t-elle soudain.
  • Pardon ? fis-je, surpris.
  • Fais pas l’innocent… Quand je vais chez mes grands-parents, leur chien veut tout le temps me lécher les pieds quand j’ai enlevé mes chaussures, tu as envie toi aussi, non ? insista-t-elle.
  • Mais euh… Quel rapport ? Je suis pas un chemin moi ! demandai-je, dubitatif.
  • Tu as pas pu te retenir d’essayer tout à l’heure, c’est que ça te fais envie alors fais toi plaisir ! Mais doucement quand même je crains les chatouilles ! proposa-t-elle.
  • Tu es sûre que… tentai-je de dire.
  • Puisque je te propose, vas-y ! Après tout c’est normal de se rendre service entre amis ! T’inquiète que si je n’aime pas je t’arrêterai net ! confirma-t-elle.

Je ne réalisais pas ce qu’il se passait. Je vivais ce moment comme un rêve. Pourtant, m’engager dans ce genre de pratique n’était pas anodin … Finalement, après une courte hésitation, je me suis lancé. J’approchai ma bouche de ses délicieux pieds et me mis à les lécher avec envie, comme si j’étais à la place de ce fameux chien, comme si on donnait une sucette à un e n f a n t privé de sucreries. De même que pour le massage, j’ai débuté par de petits coups de langues sur ses orteils en les accompagnant de légers baisers sur chacun de ses 10 petits bijoux bien alignés. Puis, petit à petit, je suis descendu le long de la plante de ses pieds en grandissant les coups de langues.

Je changeais régulièrement de position pour mieux accéder à la moindre parcelle à lécher. À chaque fois, je guidais les deux graals vers moi sans que leur propriétaire n’ait à s’en soucier. Elle me regardait avec un léger sourire curieux. Je lui demandais régulièrement si cela lui convenait en me contentant de son joli sourire en signe d’acquiescement. Certaines léchouilles sur des zones sensibles s’accompagnait de ricanements mais jamais elle ne m’a demandé d’arrêter. Alors je continuais, je suçotais ses orteils, je mettais ses pieds dans ma bouche, je les embrassais ou je les posais juste sur mon visage en profitant du plaisir d’être prosterné sous eux.

Je ne me lassais pas du délice que me procuraient ces objets d’adoration. Caroline n’était pas f o r c e ment la fille que je désirai le plus mais le plaisir qu’elle me procurait avec ses pieds était indescriptibles. Pendant de longues et délicieuses minutes, le monde extérieur n’existait plus. Il n’y avait plus qu’elle et moi. Je n’étais pas amoureux d’elle mais de Laurie. En revanche, c’était désormais de ses pieds à elle que mon côté fétichiste était attaché.

Je n’espérais plus que deux choses, c’était que ce moment dure le plus longtemps possible et qu’il se reproduise, encore et encore. Il était préférable pour préserver notre amitié de ne pas aller plus loin mais cela me suffisait et semblait convenir à Princesse Caroline. C’est en tout cas ce qu’elle m’a dit lorsque l’heure nous a f o r c é à revenir à la réalité. C’était à priori plus agréable qu’elle l’avait imaginé. Nous nous sommes donc mutuellement remerciés par des mots un peu gênés mais extrêmement sincères. On s’est surtout promis de recommencer la prochaine fois que l’occasion se présentera.

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Très beau récit, je mis serait cru...
Recette classique de vénération des pieds mais bien écrit. Évidemment on souhaite alors une suite à petit texte !
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